Début du montage vidéo suite au tournage d’un colloque.

Le tournage vidéo a eu lieu à Bordeaux et représente quatre heures d’enregistrement vidéo. Nos procédures de sauvegardes font que les fichiers vidéo sont transférés sur une machine d’un réseau interne de serveurs d’archivage.
Une compilation de ces quatre heures est réalisée, puis éditée sur ce même serveur sous un format compressé (2Go pour 4h en format H264), et dès le lendemain, le commanditaire reçoit un DVD contenant les quatre heures de film avec un horodateur incrusté dans le coin de l’image, afin de lui permettre d’indiquer les séquences intéressantes et à garder, en fonction des sujets abordés par les différents intervenants.

C’est à partir de là que le montage vidéo commence.

Dans ce genre de contexte (tournage en amphithéâtre), il vaut mieux gérer les fonctions de la caméra manuellement. Tout d’abord parce que l’on a le temps de le faire (ce n’est pas un concert de rock), et surtout, parce que les éclairages trompent les fonctions automatisées du diaphragme. Concrètement, on se retrouve vite avec des visages surexposés, et pratiquement blancs, à cause du fond obscur environnant.