La réalisation d’un film vidéo ce n’est pas uniquement de la captation vidéo.
Le film vidéo d’un établissement représente son image, et comme pour la façon de s’habiller, il faut que cette image soit adaptée au spectateur visé.
Notre offre qualitative se décline en cinq points :
>> Nos plus :
1. L’ŒIL du photographe :
On ne fait pas un bon film vidéo sans une belle image. Et une image de qualité ne s’obtient pas en retouchant des erreurs de prises de vues. Comment s’aperçoit-on qu’une image est de qualité ? Quand la moindre retouche de cette image est inutile. C’est l’expérience photo qui donne ce plus avec une réelle expertise dans le cadrage, la disposition des lumières, des ombres, les contrastes, les équilibres des masses au sein de l’image, les couleurs, etc… Ce savoir faire s’impose naturellement lors d’une prise de vue vidéo. |
>> Voir notre galerie photos (extraits d’une banque de plus de 20 000 images)…
2. DU MONTAGE… à partir d’un découpage technique du film.
Une collection de belles images ne suffit pas pour raconter une histoire de manière efficace. Vous souhaitez un film qui se résume à un diaporama ? Ou à un acteur qui parle devant une image de fond ? Malheureusement, votre demande ne sera pas satisfaite, si tel est le produit que vous recherchez. Nous préférons raconter, ensemble, une histoire, en utilisant le langage de l’image : Il y a des plans, des cadrages, du rythme, des effets sonores, de la musique, des voix off, adaptés en fonction du sujet traité. Chaque élément de ce langage audio et visuel produit un effet chez le spectateur. Ce langage de l’image est à la vidéo, ce qu’est le langage non verbal à la discussion. Et c’est bien de cela qu’il s’agit : faire passer un message. |
3. UNE FINITION au pixel près :
La phase de finition correspond souvent à 50% du temps de montage total. Il faut le reconnaître, c’est là aussi que se trouve la plus grande partie du plaisir du réalisateur. C’est la sauce qui vient accompagner le plat… Qu’il s’agisse du son ou de l’image, il faut que le film soit bien « huilé » ! Ça se joue parfois à la milliseconde : un son bien normalisé, un volume pas trop fort (nous sommes en numérique…), des effets sonores en accord avec l’image, une balance des blancs correcte, une bonne lumière, un rythme qui fait parler l’image, etc… Il y a un fossé énorme entre une interview, et un spot vidéo, voire une bande-annonce de film, avec des plans de coupe, des incrustations, des effets sonores. |
4. DES CONTRÔLES à chaque étape :
Depuis le transfert vers la station de montage, jusqu’à l’édition vidéo. Sans entrer dans les détails, imaginons le temps perdu si au moment de la visualisation d’un film, une erreur apparaissait (Faute dans un texte incrusté, éclat lumineux, son mal normalisé, etc…). Il faut retrouver cette erreur dans le processus, la corriger et relancer le processus : édition du montage, compression au format de diffusion, mise sur support de diffusion. Sur un spot de 20 secondes, c’est beaucoup moins préjudiciable que sur un film de 15 minutes, voire une heure… |
5. UNE DIFFUSION MULTI SUPPORTS :
DVD-Vidéo, télédiffusion, cinéma, internet, smartphone, clés USB… Il est loin le temps où un film, après sa seule et unique diffusion en entreprise, finissait ses jours dans le fond d’un placard ou d’un tiroir. C’était le temps, archaïque maintenant, de la cassette vidéo. De nos jours, la profusion des différents supports permettent une diffusion très large et qui peut être utile en fonction des situations : pour illustrer un propos, montrer une vidéo sur son smartphone lors d’un entretien commercial, par exemple. |
S’il suffit de faire de la captation d’image… Nous pouvons vous faire réaliser des économies : utilisez des caméras de vidéo surveillance : elles n’auront pas la tremblote, et pourrons être utilisées aussi pour faire baisser votre budget assurance des locaux d’entreprise.
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